Éditeur : Akata
Parution : 2017
Pages : 194
Genre : Seinen
J'achète : Manga 7,95€ (ici)
Synopsis :
Cela fait cinq années que le Japon est en guerre. Mais Saku, jeune collégien, ne le réalise pas vraiment. Vivant sur une petite île isolée, son quotidien n'est synonyme que d'ennui, entre les cours et la frustration de repas trop sommaires. Pourtant, tandis que les affrontements semblent s'intensifier, une terrible nouvelle vient bouleverser sa vie et celle de ses camarades : désormais, chaque vendredi, certains d'entre eux seront appelés à aller se battre sur le front. Tous, sauf Saku et Miyako, son amie d'enfance, exemptés sans savoir pourquoi de partir à la guerre...
Ma chronique :
Merci aux éditions Akata pour l'envoi de ce manga !
Nous y retrouvons une classe de jeunes dans un pays en guerre depuis cinq ans, vivant sur une petite île isolée du Japon. Tous vivent dans la routine et l'ennui, jusqu'au jour où leur enseignant leur annonce que chaque vendredi, un des élèves partira au front... sauf Saku et Miyako. Pourquoi ? Personne ne le sait.
Un tome extrêmement court, très rapide à lire, avec peu de dialogues. Pour moi, il fait partie de ces manga que l'on a pas le temps de savourer. Tout passe beaucoup trop vite. On n'a pas le temps de comprendre en détails l'histoire, on n'a pas le temps de s'attacher aux personnages, ni parfois même de retenir leur nom.
En parlant de l'histoire, il y a beaucoup de choses qui m'échappent. Peut-être est-ce fait exprès. Mais pourquoi y a-t-il une guerre ? Qu'est-ce-que ce « fil d'araignée » ? Qu'est-ce-que cette peluche mystérieuse qui semble douée de parole ? Qu'est-ce-que cette histoire d' « anneaux de sagesse » ? Tout est très flou, on survole, sans réellement avoir le temps d'apprécier et de comprendre quoi que ce soit.
Après, peut-être qu'il s'agit simplement d'un tome de mise en place, ce qui me paraitrait long pour une saga en quatre tomes (me semble t-il), ou bien c'est totalement volontaire de la part de l'auteur de ne rien dévoiler pour laisser le suspens et avoir envie de lire la suite. Je ne saurais vous dire. Tout ce que je sais c'est qu'il s'agit d'un premier tome très léger et très moyen.
J'aime les manga où il y a de l'émotion, que ce soit du rire, ou des pleurs, mais ici, rien. Pas le moindre pincement au coeur, pas le moindre sourire, pas la moindre réaction. Encore une fois, je pense que cela est dû à la rapidité du tome, qui ne nous laisse pas apprécier notre lecture. Et cela se ressent dans tous les aspects.
C'est dommage parce que le fond de l'histoire est vraiment bon, on a une histoire qui pourrait être géniale... si elle avait été mieux exploitée. Là, on en oublierait presque pourquoi on est en train de la lire. C'est désolant parce que j'aurais aimé ressentir l'ambiance de la guerre, avec cette indépendance alimentaire, les ventres qui gargouillent, la tristesse de ne plus avoir de proches, l'angoisse de mourir le lendemain, l'incompréhension de la guerre. Et je n'ai rien ressenti de tout cela. On perçoit peut-être une légère romance, mais alors si légère qu'elle passe inaperçu.
Les dessins sont tantôt particulièrement simples et minimalistes, tantôt complexes et détaillés, notamment sur les paysages de la guerre. J'ai apprécié les deux pages couleurs du début, car leurs couleurs sont frappantes. C'est d'ailleurs ce qui m'a plu à première vue quand j'ai vu la couverture du manga, que je trouve très jolie soit dit en passant.
Je ne sais que dire des personnages, je pense qu'au vu de ce que je viens de dire, vous devinez pourquoi. Je n'arrive même pas à les cerner. Après, voilà, il est vrai que Saku a l'air d'être un garçon très gentil, tout comme Miyako qui est apparemment très bonne cuisinière. Shinokawa quant à elle se dévoile peut-être un peu plus que les autres, on ressent sa fragilité sous sa froideur. Rien de plus et de particulièrement transcendant.
Un premier tome qui me laisse sur ma faim, dans tous les sens du terme. Je ne voudrais pas me positionner si vite et sur seulement un tome lu, c'est pourquoi j'attendrais la suite pour pouvoir donner un avis pertinent. Pourquoi pas m'enfiler les 3 prochains et derniers tomes d'un coup pour faire un bilan sur la saga ! Je reviendrais peut-être sur mon avis !
Nous y retrouvons une classe de jeunes dans un pays en guerre depuis cinq ans, vivant sur une petite île isolée du Japon. Tous vivent dans la routine et l'ennui, jusqu'au jour où leur enseignant leur annonce que chaque vendredi, un des élèves partira au front... sauf Saku et Miyako. Pourquoi ? Personne ne le sait.
Un tome extrêmement court, très rapide à lire, avec peu de dialogues. Pour moi, il fait partie de ces manga que l'on a pas le temps de savourer. Tout passe beaucoup trop vite. On n'a pas le temps de comprendre en détails l'histoire, on n'a pas le temps de s'attacher aux personnages, ni parfois même de retenir leur nom.
En parlant de l'histoire, il y a beaucoup de choses qui m'échappent. Peut-être est-ce fait exprès. Mais pourquoi y a-t-il une guerre ? Qu'est-ce-que ce « fil d'araignée » ? Qu'est-ce-que cette peluche mystérieuse qui semble douée de parole ? Qu'est-ce-que cette histoire d' « anneaux de sagesse » ? Tout est très flou, on survole, sans réellement avoir le temps d'apprécier et de comprendre quoi que ce soit.
Après, peut-être qu'il s'agit simplement d'un tome de mise en place, ce qui me paraitrait long pour une saga en quatre tomes (me semble t-il), ou bien c'est totalement volontaire de la part de l'auteur de ne rien dévoiler pour laisser le suspens et avoir envie de lire la suite. Je ne saurais vous dire. Tout ce que je sais c'est qu'il s'agit d'un premier tome très léger et très moyen.
J'aime les manga où il y a de l'émotion, que ce soit du rire, ou des pleurs, mais ici, rien. Pas le moindre pincement au coeur, pas le moindre sourire, pas la moindre réaction. Encore une fois, je pense que cela est dû à la rapidité du tome, qui ne nous laisse pas apprécier notre lecture. Et cela se ressent dans tous les aspects.
C'est dommage parce que le fond de l'histoire est vraiment bon, on a une histoire qui pourrait être géniale... si elle avait été mieux exploitée. Là, on en oublierait presque pourquoi on est en train de la lire. C'est désolant parce que j'aurais aimé ressentir l'ambiance de la guerre, avec cette indépendance alimentaire, les ventres qui gargouillent, la tristesse de ne plus avoir de proches, l'angoisse de mourir le lendemain, l'incompréhension de la guerre. Et je n'ai rien ressenti de tout cela. On perçoit peut-être une légère romance, mais alors si légère qu'elle passe inaperçu.
Les dessins sont tantôt particulièrement simples et minimalistes, tantôt complexes et détaillés, notamment sur les paysages de la guerre. J'ai apprécié les deux pages couleurs du début, car leurs couleurs sont frappantes. C'est d'ailleurs ce qui m'a plu à première vue quand j'ai vu la couverture du manga, que je trouve très jolie soit dit en passant.
Je ne sais que dire des personnages, je pense qu'au vu de ce que je viens de dire, vous devinez pourquoi. Je n'arrive même pas à les cerner. Après, voilà, il est vrai que Saku a l'air d'être un garçon très gentil, tout comme Miyako qui est apparemment très bonne cuisinière. Shinokawa quant à elle se dévoile peut-être un peu plus que les autres, on ressent sa fragilité sous sa froideur. Rien de plus et de particulièrement transcendant.
Un premier tome qui me laisse sur ma faim, dans tous les sens du terme. Je ne voudrais pas me positionner si vite et sur seulement un tome lu, c'est pourquoi j'attendrais la suite pour pouvoir donner un avis pertinent. Pourquoi pas m'enfiler les 3 prochains et derniers tomes d'un coup pour faire un bilan sur la saga ! Je reviendrais peut-être sur mon avis !
© Solène
★★★★★
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